Natif de Bordeaux, je suis aujourd’hui retraité à l’âge de 63 ans. Mes origines sont à la fois de l’Est par mon père (mon grand-père était alsacien et ma grand-mère lorraine) et du Sud-Ouest (Pays Basque) par ma mère.
Enfant, je grandis à Caudéran et partage mes vacances entre une ferme familiale près de Mauléon et une station-service gérée par un grand-oncle près de Perpignan.
Au Pays-Basque, il est naturel à l’époque de faire participer les enfants aux travaux agricoles. Et au Pays Catalan, dès l’âge de 15 ans, je tiens avec mon oncle, mais également seul, les pompes à essence (situées sur la route de l'Espagne, et ouvertes l’été de 5 heures à 22 heures - amplitude horaire nécessitant la présence de 2 personnes).
Après avoir vécu jusqu’à 31 ans à Bordeaux, ma vie sentimentale me conduit à m’installer à Sainte-Hélène, un peu à l’écart, mais dans un cadre naturel, propice à me ressourcer, et dont je ne me lasse toujours pas à l’heure de la retraite.
D'un point de vue professionnel, j’entame ma vie active dans un cabinet d’expertise comptable au sortir de l'école de commerce. Je démissionne au bout d’un an et intègre une entreprise du bâtiment où tout est à faire en termes de gestion. Dirigée par 2 frères (l’un à la technique, l’autre au commercial), l’entreprise bénéficie de l’embellie générée entre autres par la construction du quartier Meriadeck à Bordeaux, dans un secteur peu connu et peu concurrencé : celui de la protection passive des structures (principalement les substituts de l’amiante destinés à l’isolation thermique et à la résistance au feu des bâtiments).
Très rapidement, et suite à des différends entre les 2 frères, je suis amené à créer une nouvelle société avec l’un d’eux et à en prendre la gérance. Une vingtaine d’années plus tard, lors du départ à la retraite de mon associé, je la revends à un petit groupe familial du même secteur d’activité.
Je poursuis alors ma carrière en prenant la direction de l’agence du Sud-Ouest, ainsi que celle des Midi-Pyrénées, créée un peu plus tard.
Ma vie professionnelle s’achève néanmoins prématurément quelques jours avant mon soixantième anniversaire.
Depuis lors, je consacre une partie de mon temps à des associations : l’une locale œuvrant pour le bien-être, l’autre nationale et reconnue d’utilité publique, intervenant dans les domaines de l’éducation, de l’emploi et de l’entreprise. J’aide ainsi les créateurs d’entreprise à concrétiser leurs projets, et les entreprises en difficulté à se redresser, ou, dans les cas les plus défavorables, à cesser leur activité.
Au Pays-Basque, il est naturel à l’époque de faire participer les enfants aux travaux agricoles. Et au Pays Catalan, dès l’âge de 15 ans, je tiens avec mon oncle, mais également seul, les pompes à essence (situées sur la route de l'Espagne, et ouvertes l’été de 5 heures à 22 heures - amplitude horaire nécessitant la présence de 2 personnes).
Après avoir vécu jusqu’à 31 ans à Bordeaux, ma vie sentimentale me conduit à m’installer à Sainte-Hélène, un peu à l’écart, mais dans un cadre naturel, propice à me ressourcer, et dont je ne me lasse toujours pas à l’heure de la retraite.
D'un point de vue professionnel, j’entame ma vie active dans un cabinet d’expertise comptable au sortir de l'école de commerce. Je démissionne au bout d’un an et intègre une entreprise du bâtiment où tout est à faire en termes de gestion. Dirigée par 2 frères (l’un à la technique, l’autre au commercial), l’entreprise bénéficie de l’embellie générée entre autres par la construction du quartier Meriadeck à Bordeaux, dans un secteur peu connu et peu concurrencé : celui de la protection passive des structures (principalement les substituts de l’amiante destinés à l’isolation thermique et à la résistance au feu des bâtiments).
Très rapidement, et suite à des différends entre les 2 frères, je suis amené à créer une nouvelle société avec l’un d’eux et à en prendre la gérance. Une vingtaine d’années plus tard, lors du départ à la retraite de mon associé, je la revends à un petit groupe familial du même secteur d’activité.
Je poursuis alors ma carrière en prenant la direction de l’agence du Sud-Ouest, ainsi que celle des Midi-Pyrénées, créée un peu plus tard.
Ma vie professionnelle s’achève néanmoins prématurément quelques jours avant mon soixantième anniversaire.
Depuis lors, je consacre une partie de mon temps à des associations : l’une locale œuvrant pour le bien-être, l’autre nationale et reconnue d’utilité publique, intervenant dans les domaines de l’éducation, de l’emploi et de l’entreprise. J’aide ainsi les créateurs d’entreprise à concrétiser leurs projets, et les entreprises en difficulté à se redresser, ou, dans les cas les plus défavorables, à cesser leur activité.